Sentiments de satisfaction à la clôture de la troisième édition de la foire Kati Yetu.

C’est dans l’enceinte du musée national de Lubumbashi que la troisième édition de la foire Kati Yetu a eu lieu.

D’innovation en innovation, l’organisation n’a ménagé aucun effort pour surprendre une fois de plus le public lushois toujours curieux quand il faut découvrir et surtout vivre des moments de communion.

« Je ne regrette pas les 80 dollars que j’avais sur moi, je repars avec un sac plein de précieux articles que j’ai acheté chez des jeunes entrepreneurs que j’encourage d’ailleurs » a dit Nissia qui s’est confiée à Empreinte Magazine.

« Ce que je regrette c’est de n’avoir pas trouvé les sandales que j’avais acheté lors de la deuxième édition, je suis bien triste pour ça mais j’en suis reparti avec d’autres sésames » nous a dit Lucky.

En organisant ce genre d’événements, Kati Yetu a compris l’importance d’offrir aux jeunes entrepreneurs une tribune qui leur permettra non seulement de vendre mais surtout de comprendre les réalités du business, de se comparer aux autres pour s’améliorer et surtout de sortir de leurs cocons pour comprendre qu’ils ne sont pas les seuls à offrir un service, à vendre un produit, que la particularité, le sérieux et le professionnalisme doivent caractériser les entrepreneurs pour être compétitif et rentabiliser leurs investissements.

Felly Jo Kabala, l’un des organisateurs n’a eu que le mot magique pour qualifier l’ensemble des travaux qui ont entourés cette troisième édition. Il en sort encore plus fort et instruit qu’il ne l’a été au début. C’est toute une leçon de vie a t’il conclu.

La foire Kati Yetu troisième édition aura connu une grande participation en termes d’exposants ainsi que de visiteurs. Les organisateurs promettent un autre niveau à la quatrième édition.

Bon vent à cette précieuse initiative.

Rédaction | Empreinte Magazine.